On apprend à la lecture de l’article, La grande souffrance des chênes aubois, que les techniciens de l’ONF se sont attelés à un recensement minutieux des chênes affaiblis par les aléas climatiques. Sur 450 ha recensés, on a ainsi évalué à 3500 m3 de bois les chênes en train de dépérir.
Cela est dû à des sécheresses successives, d’abord en 2005, puis en 2015, 2018, 2019 et 2020… Et si la pluie pourrait sauver quelques arbres légèrement atteints, les techniciens pensent que pour la plus grande partie des arbres concernés les dégâts sont irréversibles…
Quelle solution à long terme ? A partir de 2050, des essences méditerranéennes comme le cèdre pourraient se développer dans l’Aube… et les techniciens de l’ONF de penser à une “migration” des espèces …